Dans moins de trois semaines je vais jouer ma scène finale, et il s’agit d’une scène où, en gros, les personnages se disent n’importe quoi. Mais vraiment n’importe quoi. Mais il y a une histoire! Car ils se parlent. Mais en se disant n’importe quoi.
J’en profite donc pour faire, dans mon journal de bord, une exhaustive analyse de l’importance des mots dans nos dialogues. Je joins à cette analyse l’annexe suivante, soit un édifiant exemple qui prouve de manière infaillible (absolument) que les mots, dans la vie, ça ne veut jamais rien dire et que c’est toujours n’importe quoi.
À vous de voir, si vous ne me croyez pas: